En Ouganda, le chanteur, entrepreneur sénégalo-américain, Akon est sévèrement critiqué par les militants des droits de l’homme pour sa coopération avec le président Yoweri Museveni, dans la construction d’une ville futuriste.
D’après une lettre adressée à Alioune Badara Thiam, le lundi soir par les groupes américains Human Rights Foundation et Vanguard Africa : « Akon aide à réhabiliter la réputation du président de longue date Yoweri Museveni après une élection au début de cette année entachée de violence, d’une coupure d’Internet et d’allégations de truquage des votes », rapporte The Washington Post.
« Museveni a exploité votre rencontre avec lui à des fins de propagande officielle, alors que son régime cherche à capitaliser sur votre prestige mondial pour blanchir son image et détourner l’attention de sa vague de répression la plus récente », dit la lettre, l’exhortant à « préciser explicitement » qu’il n’approuve pas Museveni.
En dehors de la construction de cette ville futuriste ‘’Akon City’’ en Ouganda, le chanteur sénégalo-américain souhaite organiser un festival de musique pour la promotion des artistes locaux de ce pays d’Afrique de l’Est.
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